Tous les ans, les échecs à cet examen sont nombreux. Et trop souvent, les candidats ne comprennent pas pourquoi ils ont échoué. Les raisons sont simples pourtant : dispersion et manque de travail.
Quatre conseils pratiques pour décrocher ce sésame si prisé des étudiants et des grandes écoles.
Compréhension orale et expression écrite : travaillez en vous amusant !
Pas de réponse oral au TOEFL. Et pourtant, la compréhension d’un anglophone qui ne fait pas d’effort pour son interlocuteur est indispensable. De même, il faut être capable de comprendre un texte écrit dans un anglais soutenu.
Pour réviser tout en s’amusant, les films en version originale avec sous-titres sont idéaux. De même, lire la presse anglo-saxonne quotidiennement, quel que soit le sujet (musique, sport, politique, etc.), est indispensable.
Avoir les réflexes indispensables le jour du TOEFL
Les épreuves blanches sont la meilleure manière de se mettre en situation réelle, et surtout d’apprendre à gérer son temps. C’est là que l’on acquiert des automatismes et que l’on se rend compte de ses faiblesses. Plus vous serez entraîné, moins les questions et leur formulation parfois complexe vous paraîtront déstabilisantes.
Apprendre à se concentrer
Le rythme est soutenu pendant l’épreuve, et deux secondes d’inattention peuvent parfois mettre les candidats dans des situations difficiles. Il est indispensable de s’entraîner à se concentrer sur un seul sujet pendant un temps limité. Les techniques modernes de méditation sont d’excellents exercices pour réapprendre à fixer son attention pendant un temps long.
S’entraîner…encore, encore et encore !
Les entraînements font la réussite. C’est vrai pour le TOEFL comme pour tout examen ou concours. Tous les jours, dans les semaines qui précèdent l’examen, il faut consacrer une demi-heure à l’entraînement aux épreuves. En alternant les types d’exercice (compréhension écrite, compréhension orale, etc.). Les films et les livres en anglais égaieront vos soirées et vous permettront de faire une pause et de vous détendre.